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« Un jardin ne peut être thérapeutique que s’il est investi par les usagers »

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Remplacer les parkings dans les maisons de retraite par des espaces verts, prendre soin des publics vulnérables et fragilisés en mettant des jardins à leur disposition… C’est ce que propose Jérôme Pellissier, docteur en psychologie, pour qui l’influence de la nature sur le bien-être et la santé n’est plus à démontrer.
Pouvez-vous définir ce que sont les jardins thérapeutiques ?Ce sont des jardins accessibles et adaptés aux personnes ayant certaines difficultés ou certains handicaps et qui poursuivent des objectifs spécifiques en termes de santé. Les professionnels les utilisent comme lieu, support, médium, motivation… pour mener des activités thérapeutiques. Cela peut être le cas du kinésithérapeute et de l’ergothérapeute, qui vont se servir du jardinage pour rééduquer une personne handicapée à tel type de geste, du psychothérapeute et du psychologue, qui vont l’utiliser comme soutien à la parole de leur patient, de l’animatrice en EHPAD [établissement pour personnes âgées dépendantes], pour éveiller des souvenirs, des sensations et des émotions chez les résidents… Le travail est différent selon les troubles, mais un grand nombre de professionnels…
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