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Migrants : Emmaüs Solidarité appelle de nouveau « à une approche nationale »…

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En marge d’un bilan chiffré de l’activité du centre de premier accueil des migrants, ouvert en novembre dernier à Paris, porte de la Chapelle, et géré par Emmaüs Solidarité, l’association a dénoncé, le 23 juin, « les violences inacceptables à l’encontre des personnes qui attendent une prise en charge devant le site ». Les migrants en attente à la Chapelle « n’ont pas d’autre solution, compte tenu de l’engorgement actuel du dispositif, que de s’installer dans des campements massifs » qui « avaient pourtant disparu depuis plusieurs mois », regrette Emmaüs Solidarité dans un communiqué. L’organisation appelle « de nouveau à une approche nationale du traitement de la situation des migrants ». Cela impliquerait, « dans un esprit de solidarité territoriale »,la déclinaison de centres de premier accueil des migrants dans plusieurs métropoles régionales.Selon son bilan, 12 043 personnes ont « pu éviter des situations de campement à la rue » en région parisienne depuis sept mois. Selon les chiffres également publiés, le 23 juin, par les services du préfet de la région Ile-de-France, elles sont 12 105, dont 2 094 mineurs isolés pris en charge par le service parisien du dispositif d’évaluation…
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