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« Le travail social ne peut pas être délégué à une machine »

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Le numérique, l’intelligence artificielle, les robots envahissent tous les pans de la société et risquent de transformer le monde du travail. Philosophe et spécialiste du Big Data, Bruno Teboul démontre dans son dernier livre que très peu de secteurs professionnels seront épargnés. Mais, pour l’heure, les travailleurs sociaux sont à l’abri.
Qu’entendez-vous exactement par le terme « robotariat » ?J’ai construit ce concept à partir des mots « robot » et « prolétariat » car il y a, me semble-t-il, une accélération de ce que l’on appelle l’« automatisation ». Celle-ci est liée à la numérisation de plus en plus conséquente du monde via Internet, les réseaux sociaux, les mobiles, les algorithmes, le déluge des données avec le Big Data, l’industrie de l’intelligence artificielle, les logiciels qui permettent d’automatiser les processus ou la prise de décision en lieu et place de l’être humain. Il y a une véritable convergence du travail et de la technique. En substituant la robotique au travail humain et en vidant les usines de ses ouvriers, le robotariat va aboutir à la fin du prolétariat, mais il va aussi donner naissance à une nouvelle forme d’élite,…
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