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Fédérer sans s’épuiser

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Les collectifs naissent et disparaissent au gré des difficultés du moment. Celles liées à la gratification et à la pénurie des stages en travail social en ont fait fleurir plusieurs dans les centres de formation. Illustration à Montrouge, à Montpellier et à Nîmes.
Animé par une vingtaine d’étudiants très impliqués, le collectif étudiant de l’institut régional du travail social (IRTS) de Montrouge (Hauts-de-Seine) est né en 2012. « Cet outil militant a été créé pour réfléchir à notre formation, sa revalorisation et sa reconnaissance, et pour penser notre métier, se souvient Baptiste Anglade, cofondateur du groupe, en troisième année d’éducateur spécialisé. L’austérité entraîne des coupes budgétaires dans le social : on ne veut pas que le travailleur social de demain soit un gestionnaire de la précarité. » En première année d’éducateur spécialisé, Elena S. a rejoint le collectif de Montrouge quelques semaines seulement après sa rentrée : « Je me posais beaucoup de questions sur les stages, le diplôme, le métier. Intégrer un collectif est une bonne manière d’y répondre. » Selon elle, la motivation des étudiants qui s’engagent est d’abord liée à…
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