En marge d'un bilan chiffré de l'activité du centre de premier accueil des migrants, géré par Emmaüs solidarité depuis novembre dernier, porte de la Chapelle à Paris, l'association a dénoncé, vendredi 23 juin, "les violences inacceptables à l'encontre des personnes qui attendent une prise en charge devant le site". Plusieurs associations ont, par ailleurs, lundi 26 juin, rappelé qu'elles ne considéraient pas ce centre comme "un modèle" à suivre.
Les migrants en attente à la Chapelle "n'ont pas d'autre solution, compte tenu de l'engorgement actuel du dispositif, que de s'installer dans des campements massifs" qui "avaient pourtant disparu depuis plusieurs mois", regrette pour sa part Emmaüs Solidarité dans un communiqué. L'organisation appelle donc "à nouveau à une approche nationale du traitement de la situation des migrants", impliquant, "dans un esprit de solidarité…
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