Deux jours après avoir envoyé ses services rencontrer les réfugiés et les associations qui les aident à Calais (Pas-de-Calais), le défenseur des droits, Jacques Toubon, a appelé les pouvoirs publics, mercredi 14 juin, à mettre un terme "aux atteintes aux droits fondamentaux les plus élémentaires dont [y] sont victimes les exilés, notamment les mineurs, et qui demeurent à ce jour sans précédent".
Quelques semaines après avoir témoigné, devant le tribunal administratif de Lille, des entraves à l'assistance humanitaire aux migrants dans le Pas-de-Calais, le défenseur des droits dénonce, une nouvelle fois, mercredi 14 juin, "les conditions de vie inhumaines que subissent les exilés à Calais", telles qu'elles ont été constatées sur place, deux jours plus tôt, par ses services. Et Jacques Toubon de demander "que soit mis un terme aux atteintes aux droits fondamentaux les plus élémentaires dont [ils] sont victimes, notamment les mineurs, et qui demeurent à ce jour sans précédent".Au cours de leur visite sur le terrain, "ses agents se sont longuement entretenus avec de nombreux exilés…
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