La "distinction entre les bons réfugiés, relevant du droit international, et les mauvais migrants – économiques – est une dichotomie qui n’a pas lieu d’être, puisque les motivations se confondent". Ce constat a été rappelé lors d’une conférence de presse organisée le 30 mai par le Secours catholique, la Cimade, le Jesuit refugee service (JRS-France) et le Centre de recherche et d’action sociales (CERAS), à l’occasion de la parution d’un numéro spécial de sa Revue Projet.
Le sujet, a souligné son rédacteur en chef, Jean Merckaert, est d’actualité au regard des contextes migratoire et politique : alors que commence une nouvelle mandature présidentielle, il est lié aux choix français en matière d’immigration et aux politiques européennes, voire internationales. "Serait-il donc temps d’envisager une adaptation de la con
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