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Un poulailler pour sortir de sa coquille

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« La mise en place d’un poulailler, bien que plus ambitieuse, n’est en soit pas plus compliquée, et bien moins onéreuse », selon Richard Mesplède, ancien anitauer en Ehpad et aujourd'hui formateur.

Crédit photo DR
[MEDIATION ANIMALE 1/23] En prenant en compte les contraintes relatives à une culture hygiéniste significative, l’intégration d’un chien ou d’un chat, ou la venue régulière d’un médiateur animal, apporte un bien-être et une sérénité chez le malade. Moins conventionnelle, la mise en place d’un poulailler répond aux besoins de certaines populations, notamment issues de milieux ruraux.
 

Constats et problématique

Les deux structures dans lesquelles j’ai porté un projet « poulailler » accueillaient d’anciens agriculteurs et des personnes ayant vécu à la campagne, donc entourées d’animaux. En unité protégée (UP), plus encore qu’en Ehpad, l’intégration d’animaux se heurte à de nombreuses mesures d’hygiène et de sécurité, sans compter le coût financier que représentent nourriture et frais de vétérinaire ; un investissement qui limite parfois le budget animation. La mise en place…
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