Face au renforcement de la place de l'Etat dans la prise en charge financière des mineurs non accompagnés et alors qu'il prépare un "plan d'action sur l'évaluation, la mise à l'abri et l'accompagnement de ces jeunes", une vingtaine d'organisations défendent l'idée que les mineurs non accompagnés sont avant tout des adolescents en danger et réclament le maintien du principe de présomption de minorité. Elles demandent à participer aux instances nationales impliquées dans la politique de prise en charge de ces mineurs.
Les attentes de l’Assemblée des départements de France (ADF), qui souhaite que l’Etat assume la totalité des dépenses liées aux mineurs non accompagnés (MNA), et la préparation d’un plan d’action sur l’évaluation, la mise à l’abri et l’accompagnement des jeunes migrants suscitent les inquiétudes des associations. Une vingtaine d’entre elles a adressé, le 5 octobre, une lettre au Premier ministre."La possibilité…
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