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Soins sous contrainte en ambulatoire : une étude en montre l'intérêt, et les difficultés

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Présentée mercredi 26 novembre dans le cadre du Congrès français de psychiatrie à Nantes (Loire-Atlantique), une étude décrit, pour la première fois, la façon dont le dispositif des soins sans consentement en ambulatoire, ou "programmes de soins" créé par la loi du 5 juillet 2011, est utilisé par les soignants. Elle montre que ces programmes - dont le principe fut vivement contesté par une partie du secteur au moment du vote de la loi - peuvent être "considérés comme une innovation qui pourrait modifier les pratiques et l'évolution de certaines pathologies".Pour réaliser cette enquête, le Collège national de la qualité des soins en psychiatrie - une association nationale de recherche pour la qualité dans les hôpitaux psychiatriques - a, pour le compte de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France, interrogé les soignants de plus d'une centaine de structures franciliennes prenant en charge un millier de patients dans le cadre d'un programme de soins en juin 2013.
Couramment utilisé
Il en ressort que ce dispositif - qui associe consultations, visites à domicile, accompagnement à la prise du traitement, activités thérapeutiques - est "couramment utilisé par plus de neuf secteurs sur…
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