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Quand la prévention spécialisée fait les frais des restrictions budgétaires du département

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Le conseil général de la Seine-Maritime a adopté, mardi 26 mars, une aide financière de 500 000 euros "visant à accompagner la restructuration des services de prévention spécialisée", entraînée par la baisse de moitié de leur dotation budgétaire pour 2013, qui passe de quelque 6,8 millions à moins de 3,5 millions d'euros, et pourrait se solder par 74 licenciements sur 140 salariés.Dans les associations concernées, c'est l'incompréhension qui domine, comme elles l'ont exprimé, lundi 25 mars à Rouen, dans le cadre de "Quatre heures pour la prévention spécialisée", une manifestation organisée par leurs comités locaux de soutien et le Comité national de liaison des associations de prévention spécialisée (CNLAPS).
Incompréhension
Le lendemain, plusieurs salariés occupaient de même le trottoir devant l'hôtel du département alors que l'assemblée adoptait, par 36 voix pour et 30 contre, le "dispositif visant à accompagner la restructuration des services de prévention spécialisée induite par leur recentrage sur leur cœur de métier", en leur accordant une aide financière complémentaire, sous la forme d'avances sur tarification.Mais au sein même de l'hémicycle, des voix discordantes se sont aussi…
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