Dans une étude menée conjointement, le Céreq et l’ANCT ont voulu connaître l’« effet quartier » sur le parcours post-bac et l’insertion professionnelle des jeunes issus des quartiers prioritaires. Résultat ? Des sorties de cursus plus fréquentes, des parcours moins linéaires et des postes pas assez qualifiés.
Mis à part les effets liés à leur appartenance sociale (origine migratoire, catégorie socioprofessionnelle des parents…), les jeunes résidant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) font face à des difficultés spécifiques une fois leur bac en poche. C’est ce que révèle une étude menée en collaboration par le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq) et l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT). Réalisée d’avril à juillet 2016 auprès de 19 500 jeunes sortis du système éducatif en 2013, cette vaste enquête montre que l’« effet…
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