Recevoir la newsletter

« Les travailleurs sociaux sont isolés »

Article réservé aux abonnés

Georges Jovelet, psychiatre, revient sur les difficultés rencontrées par les travailleurs sociaux dans la prise en charge des personnes atteintes du syndrome de Diogène.
Quelles précautions prendre dans l’intervention auprès des « Diogène » ?Les travailleurs sociaux confrontés à l’accompagnement de ces personnes savent combien il faut savoir négocier, apprivoiser l’autre, être souple, prendre du temps car les solutions sont longues à mettre en place. Ce type de prise en charge soulève des questions éthiques, c’est-à-dire de conscience, autant que pratiques. L’évaluation des actions est délicate entre en faire trop ou trop peu, entre le risque d’interventions intrusives au domicile et la non-assistance à personne en danger. Le travailleur social doit éviter d’intervenir seul et doit chercher à recourir à d’autres professionnels. La prise en charge est longue, compliquée et il n’y a pas de solutions immédiates, d’où l’intérêt d’avis et de regards autres et du partage d’expériences. S’il y a une parenté dans les différentes formes prises par l’incurie, on observe toutefois une variété des âges chez le sujet, allant du jeune (syndrome d’hikikomori)…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Management

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur