Mercredi 16 mai, dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes à l’Assemblée nationale, les députés ont adopté un amendement pour obliger les établissements et services sociaux et médico-sociaux à désigner "un référent intégrité physique".
Les députés ont adopté mercredi 16 mai, dans le cadre de l'examen du projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, un amendement du député LREM Adrien Taquet pour obliger les établissements et services sociaux et médico-sociaux à désigner "un référent intégrité physique" parmi les membres de leur personnel. L'objectif est de faire en sorte que les personnes accueillies "soient sensibilisées à ce risque et aient la possibilité de se faire aider en cas d'agression"."Cet amendement vise à lutter efficacement contre les violences physiques, notamment sexuelles,…
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