Devant la Cour européenne des droits de l’homme, le président de la République a assuré vouloir lutter contre le fléau de la surpopulation carcérale et créer, pour cela, une agence qui encadrerait et développerait le travail d'intérêt général.
"La France ne peut pas être fière des conditions dans lesquelles un certain nombre de personnes sont détenues sur son territoire", avec un taux moyen d’occupation de 139 % et environ 1 300 matelas au sol, a indiqué Emmanuel Macron, mardi 31 octobre, devant la Cour européenne des droits de l’homme.Afin de lutter contre le fléau de la surpopulation carcérale, le président de la République souhaite qu’une réflexion soit menée sur le développement des peines alternatives à l’incarcération. A cet effet, il a annoncé avoir pour projet de créer, dans le cadre des chantiers de la justice menés par la garde des Sceaux, "une agence pour encadrer et développer le travail d’intérêt…
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