La secrétaire d'Etat en charge des personnes handicapées, Sophie Cluzel, a présenté la méthode de la concertation qui, à l'issue de six mois de travaux, devrait aboutir à un nouveau plan "autisme". Localement, des conseils départementaux, des ARS et des rectorats devront élaborer des propositions en s'appuyant sur les réalités du terrain. Au niveau national, des groupes de travail se pencheront sur des thématiques "englobantes".
"Restaurer la confiance entre l’Etat, les administration et les familles". C’est l’objectif fixé par la secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées lors du lancement de la concertation du quatrième plan "autisme", le 7 juillet, au palais de l’Elysée. Entourée des ministres de la Santé, de la Recherche et de l’Education nationale, Sophie Cluzel y a présenté la méthode de concertation du prochain plan. Ce dernier devra être le "fruit d’un travail collectif", associant à la fois les différents ministères, les acteurs territoriaux, les professionnels du secteur et les associations représentatives des personnes concernées et de leur famille. D’ici à décembre 2017, ces différents acteurs sont chargés…
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