Publié le : Dernière Mise à jour : 12.04.2021Par : LISIANE FRICOTTÉLecture : 1 min.
Bien avant la crise sanitaire, le manque de reconnaissance des métiers d’accompagnement s’exprimait déjà. Plusieurs facteurs l’expliquent. Parmi eux, les représentations sociétales et la place des femmes dans ces métiers ne sont pas étrangères à cette dévalorisation et ont été maintes fois soulignées. Ils se conjuguent avec d’autres éléments politiques.Note : Communiqué du réseau Uniopss-Uriopss sur la mobilisation pour la reconnaissance des acteurs du soin et de l’accompagnement, déc. 2020, sur les « oubliés du Ségur »).La crise sanitaire est de ce point de vue révélatrice. La mise en avant de métiers qui ne sont pas aisément quantifiables en termes de production économique a été « applaudie ». C’est aussi vrai pour les aidants non-professionnels.Pour l’instant, les changements en profondeur attendent et nécessiteront des bouleversements majeurs sur le terrain (sur l’invisibilité des travailleurs sociaux, ASH 8 janv. 2021, qui leur a donné la parole). Cela concerne de nombreux secteurs (médico-social, sanitaire, éducatif...).Note : HCTS, « Le travail social au défide la crise sanitaire », 25 févr. 2021, un rapport dans lequel il explore les enseignements de la crise sanitaire, notamment…
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