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Introduction

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Aider renvoie à une complémentarité des solidarités : familiale, collective, avec des logiques qui se juxtaposent, évoluent et qui doivent s’articuler entre elles.Le vieillissement de la population a nourri le questionnement sur la place à donner aux solidarités familiales (termes utilisés pour la première fois dans le champ politique en 1972 et dans le champ scientifique en 1976 ; voir I. Sayn, « Les obligations alimentaires : droit civil et droit de la protection sociale », Doc. fr., 2005) et progressivement à construire des politiques publiques qui prennent en compte la question de la dépendance.Mais la question de l’aidance ne saurait se limiter aux personnes âgées : la prise en charge familiale concerne le handicap, l’accident, la maladie (avec notamment le développement des maladies chroniques) et même plus largement la précarité sociale. Des différences importantes existent dans l’approche de cette prise en charge.Note : Selon Michel Billé, sociologue, ce vocable « prise en charge » est signe d’un regard porté sur la vieillesse qu’il conviendrait d’interroger.La traduction en est significative sur le terrain de l’obligation alimentaire. Fondée initialement sur des obligations…
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SECTION 1 - DE QUELLES LOGIQUES « L’AIDANCE » RELÈVE-T-ELLE ?

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