Recevoir la newsletter

Introduction

Article réservé aux abonnés

L’article L. 223-1 in fine du Code de l’action sociale et des familles « sur la base des informations dont il dispose, le président du conseil départemental veille à assurer le suivi et, dans la mesure du possible, la continuité des interventions mises en œuvre pour un enfant et sa famille au titre de la protection de l’enfance » (CASF, art. L. 223-1 in fine). Cette disposition créée par la loi du 5 mars 2007 est en pratique difficile à mettre en œuvre.L’exposé des motifs de la loi du 14 mars 2016 rappelle à ce titre que « la multiplicité des acteurs familiaux, judiciaires, administratifs, associatifs ayant chacun leur logique et rythme propres, obère la nécessaire cohérence de ces parcours d’accompagnement d’enfants en difficulté. D’aucuns parlent de “maltraitance institutionnelle” » (1). Ce propos très fort souligne la nécessité de mieux coordonner les interventions menées auprès des familles et de l’enfant. Or, un tel objectif nécessite d’une part, de créer de la transversalité entre les actions de prévention et de protection de l’enfance, d’autre part, de construire des partenariats solides en mesure de répondre aux besoins pluriels des enfants accompagnés, d’autre part, et enfin…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

CHAPITRE 4 LES PARTENARIATS INDISPENSABLES À LA PROTECTION DE L’ENFANT

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur