Recevoir la newsletter

Introduction

Article réservé aux abonnés

En cohérence avec la loi du 5 mars 2007 relative à la protection de l’enfance qui renforce la place centrale des présidents des conseils généraux dans le domaine de l’assistance éducative, la direction de la protection judiciaire de la jeunesse a recentré son intervention sur les mineurs ayant commis des actes de délinquance. « Désormais, 90 % des mesures prises en charge dans nos services sont pénales, l’objectif étant d’atteindre les quasi 100 % en 2011 », reconnaît ainsi Philippe-Pierre Cabourdin, directeur de la Protection judiciaire de la jeunesse (1). Lequel explique que ce « recentrage » permet à la PJJ « de concentrer [ses] moyens opérationnels sur l’amélioration des délais, la qualité [des] interventions et la cohérence de la réponse ».D’où l’importance aussi, pour la garde des Sceaux, trois ans après l’adoption par le Parlement de la loi du 5 mars 2007, « de mieux préciser les compétences respectives de l’autorité judiciaire et de l’autorité administrative qui doivent être clairement et concrètement définies ». Etant précisé que « la loi limite l’intervention judiciaire aux situations les plus graves, pour lesquelles la protection administrative se révèle [...] impossible…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

SECTION 1 - UN RECENTRAGE SUR LE PÉNAL

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur