Recevoir la newsletter

Introduction

Article réservé aux abonnés

La loi du 5 mars 2007 définit une nouvelle mesure d’accompagnement social personnalisé (MASP), préalable à la mise en œuvre de la mesure d’accompagnement judiciaire (MAJ), et l’insère au sein du code de l’action sociale et des familles. Elle constitue le pendant de la mesure d’accompagnement en économie sociale et familiale instaurée par la loi réformant la protection de l’enfance, elle aussi datée du 5 mars 2007, et qui concerne seulement les prestations familiales (cf. A savoir aussi).Le législateur a entendu supprimer le recours à la tutelle aux prestations sociales adultes, à laquelle se substitue la mesure d’accompagnement judiciaire, et limiter le recours à des mesures de sauvegarde de justice, de curatelle ou de tutelle, alors même que la personne en difficulté ne connaît pas d’altération de ses facultés mentales ou corporelles de nature à entraver l’expression de sa volonté.Selon les données transmises par la direction générale de l’action sociale (DGAS), et figurant dans les rapports parlementaires élaborés au moment de l’examen de la loi du 5 mars 2007 (1), l’institution d’une mesure d’accompagnement social « non judiciaire » pourrait éviter l’ouverture de 2 % des tutelles,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

SECTION 1 - L’ACCOMPAGNEMENT SOCIAL PERSONNALISE

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur