Une étude sur l'impact de la décentralisation sur les FSL franciliens
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 14.06.2023Lecture : 1 min.
L'Union sociale pour l'habitat d'Ile-de-France (AORIF) publie, dans une nouvelle édition de sa revue Point de vue, une étude sur l'impact de la décentralisation des fonds de solidarité logement (FSL) dans la région ainsi que sur la connaissance que les bailleurs sociaux et leurs partenaires ont de ces aides.Une première étude sur ce thème avait déjà fait l'objet d'une publication de l'AORIF lors du transfert des FSL aux conseils généraux, en 2005. Cette nouvelle enquête a été effectuée fin 2008, précise la fédération régionale.Les huit FSL de la région sont financés à 80 % par leur département, avance l'AORIF, le reste des recettes est constitué de contributions volontaires (EDF, Assedic, bailleurs HLM, communes…).Entre 2005 et 2006, les aides qu'ils ont procurées à des particuliers au titre des dépenses d'énergie ont connu les plus fortes progressions. Par exemple, elles sont passées de 8,8 % à 19,2 % du total des dépenses du FSL des Yvelines.Mais, en moyenne, les principales dépenses des fonds demeurent le maintien dans le logement et l'accompagnement social lié au logement (ASLL).Le mouvement HLM francilien réitère avec cette publication ses observations concernant le "risque d'inégalité…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques