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« Il faut que notre expertise soit reconnue »

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Président de la Fédération nationale des associations d’aides-soignants
Comment analysez-vous le malaise des aides-soignants dans le secteur de la dépendance ?Il est difficile d’identifier le point de départ du mouvement, d’autant que cela fait des décennies que nous faisons part de la situation difficile dans les Ehpad. Quoi qu’il en soit, comme nous prenons de plus en plus en compte la question du mal-être des résidents, cela fait aussi remonter les problèmes des personnels. De ce point de vue, les lignes sont en train de bouger. En tant qu’aides-soignants, nous avons longtemps cru que nous n’avions pas le droit de prendre la parole, mais aujourd’hui une faille s’est ouverte et un trop-plein s’exprime. Le travail est pénible. Les aides-soignants sont confrontés à des demandes croissantes, tant du côté des familles que du côté des directions. Or, la surcharge de travail à laquelle nous faisons face ne nous permet pas toujours de répondre à ces exigences. Tout cela remonte aujourd’hui et il faut pouvoir en parler. C’est pourquoi, même si nous n’y prenons pas part publiquement, nous soutenons les mouvements de grève qui ont eu lieu depuis 2017.Car…
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