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Les Lumières pour mieux voir l’autre

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En 1749, le philosophe Denis Diderot publiait une Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient, dans laquelle il démontrait leurs capacités intellectuelles égales à celles des voyants. Près de trois cents ans plus tard, l’auteur et cinéaste Louis-Albert Serrut(1) s’inspire de ce texte des Lumières pour apporter sa contribution au « processus d’humanisation » des personnes handicapées, sous la forme d’un Commentaire sur ceux qui ne marchent pas à l’usage des marchants. Dans ce bref ouvrage écrit à la première personne, Louis-Albert Serrut relate sa rencontre avec Hector, responsable d’une association qui propose des loisirs en pleine nature avec des personnes handicapées au moyen de fauteuils roulants tout terrain. Accompagnant bénévoles et randonneurs, l’auteur découvre la démarche de l’association, les bénéfices de ces sorties, et entame une réflexion sur l’exclusion des personnes handicapées de la vie de la cité, la notion de normalité, et la nécessité de permettre une « confrontation paisible » pour favoriser une reconnaissance réciproque entre valides et handicapés. Son credo ? « L’accessibilité sociale et solidaire. » En clair : l’attention à l’autre différent, comme facteur…
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