Recevoir la newsletter

Une fonction financièrement fragile

Article réservé aux abonnés

Pour sortir de la précarité où ils se trouvent, les administrateurs ad hoc se tournent de plus en plus vers les conseils généraux.
Présentée comme une revalorisation, la réforme des indemnités sur frais de justice, décidée en 2008 (1), ne satisfait guère les intéressés : l’indem nisation forfaitaire (381,12 € au maximum, incluant les frais de déplacement) a été remplacée par un système de financement par séquences (de 50 €à 450 €, et la possibilité d’être remboursé en sus des frais de déplacement). Or si cette réforme améliore le financement des missions pour les affaires criminelles graves, elle réduit globalement celui des affaires les plus courantes.« EN DEÇÀ DU JUSTE PRIX »« Vu le volume de travail que requiert ce type de mission, on est de toute façon bien en deçà du juste prix », se désole Sabrina Bellucci, directrice de l’Inavem (Fédération nationale d’aide aux victimes et de médiation). « Il est impossible de salarier quelqu’un uniquement avec les indemnitéssur frais de justice », estime Alain Grevot, président de la Fenaah (Fédération nationale des administrateurs ad hoc). Plus grave, les indemnités sont parfois réglées avec…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur