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En dépit de réformes des diplômes privilégiant l’acquisition de compétences, la formation reste un temps privilégié pour faire le point sur ses motivations. Beaucoup d’étudiants découvrent alors que le professionnalisme consiste aussi à savoir accepter le décalage entre un idéal fort et les réalités du terrain.
Trois années d’études : après l’étape du choix initial d’un métier, c’est le moment clé de la maturation du projet du futur travailleur social. La formation implique une introspection, qui vient souvent éclairer les motivations plus ou moins conscientes de l’étudiant. C’est aussi la première confrontation avec la réalité du métier et ses prérequis. Presque tous les entrants en formation sont d’abord étonnés par le niveau d’exigence intellectuelle du cursus : les matières nombreuses, l’importance des écrits, etc. « Si j’avais su que la formation demandait autant de temps, d’énergie et de travail de rédaction, je ne sais pas si je l’aurais faite », avoue Véronique Laville, 33 ans, éducatrice spécialisée (ES) en 3e année de formation à l’Institut régional du travail social (IRTS) de Rennes. Doutant de ses capacités, Julien Amrhein, 28 ans,…
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