Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Par : É. V.Lecture : 1 min.
INTRIGUE À 32 MAINS. A Arras, dans le Pas-de-Calais, 15 étudiants de l’Association pour la formation, l’éducation et la recherche en travail éducatif et social (Afertes) ont participé à la rédaction de Violences sur mineur, sous la houlette de l’écrivain Ricardo Montserrat. Il s’agit du deuxième volume des aventures de Nour et Norbert, après Mauvaise mine, autre polar haletant au style tout aussi cru. Nour, éducatrice spécialisée, est petite-fille de mineur marocain ; Norbert, au chômage, a pour grand-père un résistant polonais et chômeur. Leurs aïeux ont participé aux grandes grèves, de 1941 à nos jours, et ont disparu dans des circonstances troubles… L’histoire de ce nouvel épisode se déroule au Château, « une institution chargée de calmer les fils à papa qui vandalisent les cimetières ». Mais surtout un établissement éducatif privé tenu par une directrice complètement folle – « Martine Rambaud mise sur la rééducation par l’emmerdement maximum. Beaucoup de bâton, un peu de carotte » – et dans lequel les jeunes subissent fréquemment les agressions du personnel. « Tous les mômes dans l’institution ont peur, même et surtout ceux qui dissimulent leur peur derrière les provocs », constate…
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