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Les associations, acteurs d'utilité publique ou opérateurs de services publics ?

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Comment mettre au service des usagers les nouveaux modes de gouvernance qui s'imposent aux associations gestionnaires du secteur social et médico-social (futures agences régionales de santé, groupements de coopération, contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens...) ? Comment faire en sorte qu'ils favorisent l'individualisation des réponses et l'amélioration de la qualité du service rendu ? Pour Claude Meunier, directeur général de l'Association des paralysés de France (APF), c'est bien le projet associatif qui fait la différence.
« L'Association des paralysés de France évolue, comme toutes les associations agissant dans le secteur social et médico-social, dans un paysage en profonde mutation sur le plan de la gouvernance associative et sur le plan des moyens financiers et humains : il s'agit de passer d'une culture de moyens à une culture de résultats, d'être plus «performant», pour mieux répondre aux besoins légitimes des personnes en situation de handicap. Que recouvre ce terme de «performance» pour l'APF ? Comment éviter le risque de passer d'une standardisation des coûts à une standardisation des réponses apportées ? A tous niveaux,…
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