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L'éducation prioritaire manque de souffle

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Un élève sur cinq a effectué sa rentrée scolaire dans un établissement classé en zone d'éducation prioritaire  (ZEP). Mais cette politique de discrimination positive mise en œuvre au nom de l'égalité des chances a-t-elle vraiment fait la preuve de son efficacité ?
Une « ZEP light »  : c'est ainsi que Florence Crézé, l'une des coordonnatrices de la zone d'éducation prioritaire de Sartrouville définit la situation locale. Dans cette commune des Yvelines, les deux tiers des habitants résident sur le « plateau ». S'il concentre les habitats sociaux - parmi lesquels la « cité des Indes »  -, ce secteur demeure cependant relativement hétérogène, avec des zones pavillonnaires un peu plus favorisées. Ici, la zone d'éducation prioritaire regroupe 17 écoles, un collège et un lycée. Le secteur comporte également un réseau d'éducation prioritaire  (REP) important puisque 4 500 élèves sont concernés.Le bilan est relativement positif du point de vue des résultats scolaires. « Nous avons connu ces dernières années une progression importante, se félicite Florence Crézé, liée à la politique impulsée et à une volonté de donner une image de qualité…
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