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Un bon prétexte pour parler d'argent

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Les travailleurs sociaux sont bien placés pour faciliter le passage à l'euro aux publics fragiles. Notamment les conseillères en économie sociale et familiale, qui travaillent souvent sur les budgets, mais aussi les aides- ménagères. Fin de notre enquête (1).
« Je vais être noyé. » « On va se faire avoir ! » « Je n'oserai plus faire mes courses toute seule. »... Madeleine Gary, conseillère en économie sociale et familiale (ESF) à Pamiers (Ariège), relève, « même si cela est parfois dit sur le ton de la plaisanterie », une véritable inquiétude parmi les usagers de la Maison de la solidarité (un centre de formation pour publics en difficulté). « On a beau être prévenus, témoigne Hélène Garaud, aide-ménagère à Rouen, cela fait quand même un choc à beaucoup de gens de voir arriver un solde de relevé bancaire divisé par six ! Alors même que les pensions ou allocations sont encore versées en francs. Pour beaucoup, le compte n'y est pas. » De l'anxiété au déni « En fait, nous avons affaire à toute une gamme d'attitudes, commente Sarah Gauguin, conseillère en ESF au conseil général du Gers. D'une part,…
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