Précarité - Pour la première fois, l'Association nationale d'assistants de service social (Anas) siège au Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE). Joran Le Gall, président de l’association, revient sur les enjeux de ce mandat d’un an.
Que représente l’entrée de l’Anas dans cette instance ?C’est pour nous la possibilité de mettre en lumière le rôle des assistants de service social. Jusqu’alors, ces professionnels pouvaient être représentés via d’autres organisations dans l’instance, mais l’Anas n’y siégeait pas. Cette entrée était nécessaire, il s’agit d’une ouverture du CNLE à d’autres interlocuteurs.
Il y a d’autre part, au CNLE, ce qu’on appelle le 5e collège, composé de personnes accompagnées. Dans le cadre de notre nomination, nous avons contribué à un avis sur la complémentaire…
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