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La situation du travail en milieu pénitentiaire est "gravement préoccupante", pour Jean-Marie Delarue

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La situation du travail dans la maison d’arrêt de Nice, et par extension dans l’ensemble des prisons françaises, est "gravement préoccupante" en raison de la "faiblesse actuelle du volume" d’activités rémunérées proposées aux détenus, estime le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, dans des recommandations parues au Journal officiel le mardi 12 mai.Ces recommandations ont été formulées à la suite d’une visite de contrôle effectuée en novembre 2008 dans les Alpes-Maritimes. Les quatre contrôleurs y ont découvert un établissement "vétuste" et connaissant un taux de surpopulation de 136 % (429 détenus pour 315 places).Cette visite a soulevé plusieurs questions et Jean-Marie Delarue aborde notamment celle du travail, l’"une des plus difficiles à résoudre", de son propre aveu.A Nice, "moins de 15 % de la population incarcérée était pourvue d’un 'emploi' rémunéré" : 70 personnes sur les 429 que compte la prison bénéficiaient au moment de la visite d’un travail, détaille-t-il, ajoutant qu’il ne "saurait évidemment retenir au titre du travail pénitentiaire, comme le fait la ministre de la Justice, les emplois des occupants du quartier de semi-liberté".Ce…
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