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L'accès à l'IVG et à la contraception demeure malaisé, selon un rapport de l'IGAS

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Trente-cinq ans après la loi Veil et neuf ans après celle de 2001 portant le délai légal de l'interruption volontaire de grossesse de 10 à 12 semaines, l'accès à l'IVG et à la contraception demeure malaisé, explique un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), rendu public mardi 2 février.Le texte estime que le contexte français est "paradoxal" : "La diffusion massive de la contraception n’a pas fait diminuer le nombre des IVG, qui se maintient aux environs de 200 000 par an, et le fonctionnement réel des dispositifs contredit trop souvent la volonté affichée de donner la priorité à une approche préventive", affirme l'IGAS.Cette dernière relève plusieurs carences, notamment des disparités territoriales. Elle déplore ainsi que "les IVG tardives ne (soient) pas prises en charge partout" et que, malgré une amélioration globale des délais d'accès à l'IVG (proches des 5 jours requis), des "goulots d'étranglement" persistent dans certaines zones de fortes demandes, notamment dans les grandes métropoles.
Les échecs de la contraception
L'IGAS note aussi que le nombre d'établissements pratiquant l'IVG est passé de 729 en 2000 à 639 en 2006, réduisant de fait le choix des…
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