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Syndicats et associations critiquent le projet de réforme des soins sans consentement

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Un front uni contre le projet de réforme des soins psychiatriques sans consentement. Le "projet de loi relatif aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et à leurs modalités de prise en charge" présenté aux organisations syndicales des personnels de la psychiatrie ainsi qu'aux associations de patients et de leurs familles a suscité de nombreuses critiques de leur part.Ce texte, annoncé depuis longtemps mais accéléré par le meurtre en 2008 à Grenoble d'un étudiant par un malade échappé d'un hôpital psychiatrique, doit réformer la loi du 27 juin 1990 prévoyant l'hospitalisation sous contrainte.Le projet de loi prévoit la mise en oeuvre de soins ambulatoires sans consentement ou encore la possibilité dérogatoire de soins en cas de péril imminent, même en l'absence d'un tiers. Des propositions formulées en 2007 par les associations de familles d'usagers et de professionnels.
De soignant à "persécuteur désigné"
Dans un communiqué publié jeudi 15 avril, ces mêmes organisations, dont l'Union nationale des amis et familles de malades psychiatriques (UNAFAM), la Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne privés non lucratifs…
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