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L'INSEE met en évidence les difficultés d'une approche qualitative de la pauvreté

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"En France comme en Europe, les opinions sont très diverses : personne ne s'accorde sur le même panier de privations inacceptables", indiquent deux chercheurs de l'INSEE qui se sont essayés à définir ce que c'est que d'être "pauvre aujourd'hui en Europe", en adoptant une approche qui privilégie la prise en compte des privations des ménages.Partant en effet du constat que "la pauvreté est un phénomène complexe à saisir à partir de données quantitatives" - l'outil le plus utilisé, le seuil de pauvreté monétaire, ne donnant à voir qu'une seule dimension d'une réalité beaucoup plus complexe -, Jérôme Accardo et Thibaut de Saint-Pol ont ainsi cherché à déterminer l'existence, ou non, d'un consensus sur "une liste de privations pertinentes", à l'échelle française et européenne.Tous deux chercheurs au sein de la division "Conditions de vie des ménages" de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), ils ont donc épluché les résultats de l'enquête "Standards de vie" réalisée par l'INSEE en 2006 et de l'Eurobaromètre 67.1 commandée par l'Union européenne en 2007, pour "analyser la manière dont Français et Européens se représentent la pauvreté et les privations qu'elle…
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