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Le constat très sévère du contrôleur général des lieux de privation de liberté

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Au lendemain de la présentation du premier rapport annuel du contrôleur général des lieux de privation de liberté, la section française de l'Observatoire international des prisons (OIP) a demandé jeudi 9 avril, au gouvernement, de "tirer toutes les conséquences des critiques formulées" par Jean-Marie-Delarue, dont la CGT pénitentiaire (UGSP-CGT) a par ailleurs tenu à "saluer le travail objectif", qui "révèle bien les problématiques récurrentes liées au système pénitentiaire".Quelques jours après la remise controversée d'un rapport Albrand "modifié" sur la prévention du suicide en prison (voir notre article du 3 avril 2009), ce premier rapport Delarue dresse en effet un panorama sans concession de la situation qui règne dans les quelque 5 800 lieux d'enfermement de l'Hexagone."La France captive ne peut pas se défaire d'un certain sentiment d'arbitraire", constate ainsi l'instance indépendante dans ce texte très sévère de 250 pages, rédigé au terme de ses six premiers mois d'exercice, au cours desquels le contrôleur général, installé en juin 2008, a visité 52 établissements (16 prisons, 14 locaux de garde à vue, 11 centres de rétention administrative, cinq hôpitaux psychiatriques, quatre…
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