Il souligne et regrette que le président de la République puis le Premier ministre n'aient pas placé la lutte contre la pauvreté et l'exclusion parmi les priorités gouvernementales.
Le collectif Alerte a réagi à son tour à la déclaration du président de la République devant le Parlement, réuni le 3 juillet à Versailles, et au discours de politique générale prononcé le lendemain par le Premier ministre (voir ASH n° 3018 du 7 juillet 2017). Deux interventions que les associations de solidarité réunies au sein du collectif ont suivies "avec beaucoup d'attention mais aussi d'inquiétude" et à l'issue desquelles elles "expriment leur déception car les deux plus hauts personnages de l'Etat n'ont pas, malgré nos nombreuses sollicitations, évoqué la lutte contre la pauvreté et l'exclusion dans les priorités du gouvernement à l'aube de ce quinquennat", soulignent-elles dans un communiqué du 12 juillet.Le collectif réclame "une vision et un plan d'action engageant le gouvernement pour une politique globale, interministérielle, promouvant l'accès de tous aux droits de tous". Celui-ci devra apporter des améliorations, notamment…
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