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Les mineurs isolés doivent bénéficier des mesures de protection de l'enfance

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Alors qu'on attend toujours les propositions que devait rendre mi-septembre le groupe de travail sur les mineurs étrangers isolés mis en place en mai dernier par le ministre de l'Immigration, la Coordination française pour le droit d'asile (CFDA) et quatre organisations associées (Hors la rue, l'Anafé, DEI France et RESF) ont remis à Eric Besson leur réflexion "pour une application du droit commun dans la prise en charge des mineurs isolés étrangers en quête d'asile et de protection".Et ce dès leur arrivée sur le sol français, plaident les signataires de cette note d'une vingtaine de pages, en demandant en premier lieu que soit mis fin au placement en zone d'attente des mineurs étrangers isolés - qui peut aller aujourd'hui jusqu'à 20 jours d'enfermement pour permettre à la police aux frontières de préparer leur renvoi dans le pays d'origine.Il faut au contraire que prévale "l'intérêt supérieur de l'enfant, présumé être en situation de danger", affirment les associations, qui rappellent que la France a d'ailleurs été critiquée à plusieurs reprises à ce sujet par les instances internationales telles le comité des droits de l'enfant des Nations unies ou le Conseil de l'Europe mais aussi…
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