Faisant suite au rapport annuel de la Contrôleuse des lieux de privations de liberté et à un avis de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, la fédération qui réunit des professionnels de la protection de l'enfance demande que ces établissements soient mieux reconnus dans leurs spécificités et accompagnés dans leurs missions.
La CNAPE s'insurge dans un communiqué publié le 13 avril : "suite à la publication du rapport d'activité 2017 de la CGLPL (1) et à celle de l'avis de la CNCDH (2) sur la privation de liberté des mineurs, une série d'articles de presse ont mis en avant l'échec des centres éducatifs fermés (CEF), relayant des affirmations peu argumentées qui semblent résulter davantage de positions dogmatiques que de réflexions de fond".Dans son avis sur la privation de liberté des mineurs, remis à la ministre de la Justice le 27 mars, la Commission nationales consultative des droits de l'homme (CNCDH) se montre particulièrement critique à…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?
