Audition de la France par l'ONU : les associations restent "vigilantes"
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 19.08.2017Lecture : 1 min.
Alors que la France doit être entendue le 26 mai prochain par le Comité des droits de l’enfant des Nations unies, pour faire le point sur les mesures prises en faveur de l'application de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) signée en 1989, plusieurs associations de défense des droits des enfants demandent à l'Etat de "diffuser largement les observations" faites par l'ONU à l'issue de cette audience.Ces organisations - parmi lesquelles figurent, entre autres, ATD Quart monde, le Conseil des associations pour les droits des enfants (Cofrade), Défense des enfants international-France (DEI-France), France terre d’asile ou l'Unicef -, rappellent en effet, dans un communiqué publié jeudi 14 mai, qu’elles "restent vigilantes" avant la présentation du bilan de la France, qui aura lieu à Genève, et au cours de laquelle le gouvernement devra répondre des actions menées ces cinq dernières années pour respecter la CIDE.Elles recommandent ainsi au gouvernement de "prendre dûment en compte, dès l’été 2009, ces observations pour réorienter ou amender, le cas échéant, les lois internes et les politiques en direction des enfants" et de les décliner "dans un plan d’action à cinq…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques