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Les instituts nationaux pour jeunes sourds ou aveugles craignent pour leur avenir

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Des représentants des salariés des INJS et de l'INJA, ainsi que des parents, bataillent contre la baisse de la contribution de l'Etat à leur budget, dans un contexte plus général de réflexions sur l'évolution de ces instituts.
Depuis la présentation du projet de loi de finances (PLF) pour 2018, l'intersyndicale des quatre instituts nationaux de jeunes sourds (INJS) et de l'unique institut national de jeunes aveugles (INJA), qui réunit les organisations syndicales représentatives ainsi qu'une association de parents, est mobilisée contre la baisse envisagée de 13 % de la contribution de l'Etat à leur budget (aux côtés des agences régionales de santé, l'Etat finance 40 % du budget de ces instituts). En vain. Les députés ont définitivement adopté la loi de finances, le 21 décembre, entérinant par la même occasion cette coupe budgétaire pour l'an prochain.

Le gouvernement la justifie par la hausse de l'allocation adulte handicapé (AAH), à laquelle le budget retiré…
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