Dans une lettre ouverte, Adeline Hazan alerte pour la deuxième fois la commission des lois de l’Assemblée nationale sur les "importantes régressions" que comporte le texte législatif.
La fin justifie-t-elle les moyens ? C’est en tous cas la première fois que le Contrôleur général des privations de liberté (CGLPL) tente d’influencer à ce point le législateur. Dans une lettre ouverte datée du 26 mars 2018 et publiée le 3 avril, Adeline Hazan alerte de nouveau la commission des lois de l'Assemblée nationale sur le projet de loi pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif, mais cette fois par écrit auprès de sa présidente Yaël Braun-Pivet,Déjà auditionnée le 9 mars par Elise Fajgeles, la rapporteure de la commission des lois de l’Assemblée nationale sur ce projet de loi, la CGLPL rappelle que "ce texte entraînerait d’importantes régressions des droits des étrangers" et évoque trois points en particulier :…
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