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Demandeuses d’asile : les violences ne s’arrêtent pas aux frontières françaises

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A l'occasion d'un colloque organisé le 2 mai, France Terre d’asile a exposé les résultats de son étude sur les violences envers les femmes demandeuses d'asile et réfugiées en France et émis des recommandations.
En 2017, en France, les femmes représentaient 35 % des demandeurs d’asile et 40,5 % des personnes sous la protection de l’OFPRA. Les différentes formes de violences qu’elles ont subies dans leur pays sont largement exprimées dans leur demande d’asile : crainte d’être soumise à une mutilation sexuelle, situation de mariage forcé ou précoce, violences conjugales et intrafamiliales ou encore violences sexuelles. Mais alors qu'elles fuient ces situations, elles se retrouvent souvent confrontées à de nouvelles violences sur le territoire français où elles sont pourtant venues chercher protection.

Une "invisibilisation" des violences subies

Si les persécutions liées aux genres et les violences auxquelles les femmes sont exposées pendant leur parcours migratoire…
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