Le départ des résidents défunts est souvent dissimulé, mais les pratiques varient beaucoup suivant les lieux, montre une enquête menée dans des EHPAD et établissements de soins de suite d’un groupe privé.
"La mort, parlons-en !", clame la Fondation pour le bien-vieillir de Korian, qui voit là un "tabou" persistant, y compris en maison de retraite. Elle publie les résultats d’une enquête réalisée dans 144 établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et de soins de suite et de réadaptation (SSR) du groupe.Seuls un peu plus des deux tiers (69 %) de ces structures déclarent "une attention particulière pour présenter leur condoléance" lorsqu’un résident décède, comme l’envoi de fleurs ou d’une carte à la famille, ou la présence d’un ou plusieurs membres de l’équipe lors des funérailles.
Les trois quarts (78 %) affirment que le départ du défunt est "dissimulé"…
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