L’Association nationale d’intervention sociale en commissariat et gendarmerie (ANISCG) organisait, le 11 octobre à Paris, une journée de réflexion sur l’évolution de ce dispositif, exposé aux incertitudes budgétaires plus de 20 ans après son émergence. Précisions de Laurent Puech, chargé de mission.
Que retenir de l’évolution du dispositif ?Son développement important, sur la quasi-totalité du territoire : il comprend aujourd’hui 260 postes, contre une trentaine en 2003, dans 90 départements. Son utilité – et la singularité de ce qu’il permet – est par ailleurs reconnue. La moitié des personnes rencontrées n’étaient pas connues d’un service social pour la raison qui les a amenées vers un intervenant social en commissariat ou en gendarmerie. Le dispositif touche donc un public qui ne va pas vers ou évite les institutions qui pourtant pourraient leur apporter leur soutien.
Comme le montre une recherche menée dans le cadre…
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