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Julia Tabath : "L’assistance sexuelle doit sortir de la clandestinité"

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julia tabath

Julia Tabath

Crédit photo © DR
A l’issue d’une formation de 12 mois, le 15 juillet dernier, sept assistants sexuels, six femmes et un homme, ont été "certifiés" à l’accompagnement sensuel et à l’assistance sexuelle des personnes en situation de handicap. Explications de Julia Tabath, présidente de Ch(s)ose (Collectif handicaps et sexualités ose), qui a organisé cette formation avec l’association suisse Corps solidaires.
Quelle est la genèse de cette formation ?

Ch(s)ose a été créée d’abord pour  faire du lobbying politique. Après avoir essayé de sensibiliser les acteurs politiques et publics à l’assistance sexuelle, nous avons voulu passer à une autre étape  en organisant cette formation avec Corps solidaires. Nous avons pris le temps de  la réflexion pour l’imaginer et la concevoir selon un cahier des charges très précis. Nous avons aussi voulu la programmer  sur une durée assez longue, plus d’un an, sachant que les formations déjà existantes en France sur le sujet sont plus courtes.

Pourquoi ce choix ?

Cette formation s’adresse à des  personnes qui envisagent une pratique  de l’assistance sexuelle sur le long terme – la sélection des candidats a d’ailleurs  été drastique – et comporte 120 heures d’enseignements…
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