La réforme de l’apprentissage, présentée le 9 février par le gouvernement, passera par une simplification du dispositif pour les entreprises, des mesures incitatives pour les futurs apprentis, ainsi que de nouvelles modalités de financement.
Si l’apprentissage est "un instrument qui donne de bons résultats", il a aussi "une image et [...] des modalités de fonctionnement qui ne sont pas encore satisfaisantes pour répondre à un besoin qui, lui, est considérable", a regretté le Premier ministre lors de la présentation des axes de réforme de l'apprentissage, le 9 février. En effet, selon le gouvernement, la France compte aujourd’hui 400 000 apprentis, soit seulement 7 % des jeunes de 16 à 25 ans, contre en moyenne 15 % dans les pays européens où le taux de chômage des jeunes est bas.Edouard Philippe a rappelé que les mesures annoncées feront l’objet d’un projet de loi, qui sera présenté en conseil des ministres à la mi-avril.
Valoriser le statut d’apprenti…
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