Dans une étude publiée récemment, la DREES constate que les diverses prestations sociales, conçues pour soutenir le niveau de vie des plus modestes, ne suffisent pas à dépasser le seuil de pauvreté, ce qui aurait un effet incitatif à participer au marché du travail, même pour un revenu d'activité faible.
"Quelle que soit la situation familiale, le niveau de vie d’un ménage ne percevant pas de revenu d’activité reste inférieur, après redistribution, à celui d’un ménage gagnant un SMIC à mi-temps", indique la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) dans une étude publiée le 28 septembre dernier.Les diverses prestations sociales - tels que le revenu de solidarité active (RSA), les allocations logement, les prestations familiales, la prime d’activité - visent à soutenir le niveau de vie des plus modestes tout en incitant ses bénéficiaires à participer au marché du travail. Ainsi, fin 2016, une personne…
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