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Le gouvernement fait main basse

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La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a dévoilé, entre le 2 mars et le 5 mars, le contenu des volets « chômage » et « formation professionnelle » de son futur projet de loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel », soumis au conseil des ministres, à la « mi-avril ». Des mesures concrètes, mais aussi un « big bang » organisationnel. L’Etat prend le contrôle de la formation, mais maintient le paritarisme sur le chômage… pour l’instant.
Durant près de trois mois, les organisations syndicales et patronales ont négocié à partir d’une feuille de route imposée par le gouvernement. Si la ministre du Travail a globalement repris leur accord sur l’assurance chômage, elle s’est à peine inspirée de celui consacré à la formation professionnelle.Désormais, avoir un projet de reconversion professionnelle ou de création d’entreprise sera un motif de démission valable pour ouvrir des droits au chômage, dans les mêmes conditions d’indemnisation que les autres demandeurs d’emploi. Ce droit sera mobilisable après cinq ans d’activité ininterrompue dans une même entreprise. Par ailleurs, Muriel Pénicaud a annoncé la création d’un droit forfaitaire…
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