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« Les enfants sont les covictimes des violences conjugales »

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Il n’y a pas de profil type de la femme battue, tous les milieux sont concernés, selon Ernestine Ronai, ex-coordinatrice de la mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences, qui estime que les professionnels sont encore insuffisamment formés au dépistage et à la prise en charge des victimes.
Dans votre contribution à votre livre collectif (voir encadré « Repères ») , vous insistez sur le droit des femmes d’être protégées. N’est-ce pas une évidence ?Chaque année, en France, plus de 220 000 femmes sont victimes de violences conjugales, 120 à 140 d’entre elles en meurent. Malgré ces chiffres, les femmes ne sont pas suffisamment protégées. Les violences conjugales restent encore trop souvent synonymes de déni et de loi du silence. Pour réaliser ce livre, nous avons fait appel aux meilleurs spécialistes du sujet en France. Nous avons voulu montrer que la protection des victimes passait par une meilleure connaissance des mécanismes et de l’impact de ces violences, mais aussi des lois et des dispositifs existants. Aujourd’hui, ces outils sont insuffisamment connus et utilisés par les professionnels et l’immense majorité…
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